Jocelyn (Franck Dubosc), homme d'affaires à succès, égocentrique, misogyne convaincu et lassé de lui-même, se retrouve soudain fraîchement amoureux. Grâce à une petite astuce, il a séduit la jeune femme et l'a gagnée à sa cause : En se faisant passer pour un handicapé moteur. Tout se passe, ou plutôt « roule » parfaitement - jusqu'au jour où sa nouvelle amie lui présente sa sœur (Alexandra Lamy) pleine de répartie. Et celle-ci est effectivement en fauteuil roulant depuis un grave accident de voiture...
"Les moments désagréables de la vie d'une personne en fauteuil roulant, des escaliers aux toilettes du restaurant en passant par les chemins trop étroits, Dubosc a chargé exclusivement son propre personnage, tandis que Florence tourne autour de toutes les difficultés avec agilité. Grâce à son aplomb et au charme que dégage Alexandra Lamy dans son rôle assis, le film ne court jamais le risque d'être pris pour une plaisanterie aux dépens des handicapés ; au contraire, il parvient à rompre une lance en faveur de l'élimination des préjugés sans devenir trop envahissant dans ses moyens. De même, on ne trouve que peu de passages à l'eau de rose dans cette comédie qui n'est certes pas forcément réaliste, mais qui défend de manière sympathique son attitude « Vive la différence ! ». (Marius Nobach, sur : filmdienst.de)
Jocelyn (Franck Dubosc), homme d'affaires à succès, égocentrique, misogyne convaincu et lassé de lui-même, se retrouve soudain fraîchement amoureux. Grâce à une petite astuce, il a séduit la jeune femme et l'a gagnée à sa cause : En se faisant passer pour un handicapé moteur. Tout se passe, ou plutôt « roule » parfaitement - jusqu'au jour où sa nouvelle amie lui présente sa sœur (Alexandra Lamy) pleine de répartie. Et celle-ci est effectivement en fauteuil roulant depuis un grave accident de voiture...
"Les moments désagréables de la vie d'une personne en fauteuil roulant, des escaliers aux toilettes du restaurant en passant par les chemins trop étroits, Dubosc a chargé exclusivement son propre personnage, tandis que Florence tourne autour de toutes les difficultés avec agilité. Grâce à son aplomb et au charme que dégage Alexandra Lamy dans son rôle assis, le film ne court jamais le risque d'être pris pour une plaisanterie aux dépens des handicapés ; au contraire, il parvient à rompre une lance en faveur de l'élimination des préjugés sans devenir trop envahissant dans ses moyens. De même, on ne trouve que peu de passages à l'eau de rose dans cette comédie qui n'est certes pas forcément réaliste, mais qui défend de manière sympathique son attitude « Vive la différence ! ». (Marius Nobach, sur : filmdienst.de)